Abstract

Les gales ovines ont historiquement concerné la plupart des pays d'élevage ovin. Soumises à déclaration obligatoire et objets de campagnes successives d'éradication dans les pays où les intérêts de l'industrie lainière ou du cuir étaient mis en jeu, elles étaient éradiquées d'un certain nombre de pays, comme la Nouvelle Zélande, l'Australie (en 1884), le Canada (en 1924), la Scandinavie (en 1927), et les Etats-Unis (en 1973), mais elles sont encore des maladies d'actualité dans nombre d'entre eux : L'Europe, le Moyen Orient, l'Afrique et l'Amérique du sud y sont à l'heure actuelle encore confrontés [1, 2].
Maladie de crasse et de misère, souvent associée aux images de taudis, de disette et de guerre. Actuellement on pourrait penser que la gale n’existe plus et pourtant elle frappe encore. Les différentes gales chez les ovins : -La gale psoroptique : due à Psoroptes ovis, elle se développe sur tout le corps du mouton. La maladie débute en région dorsale puis s'étend vers l'avant. Elle est caractérisée par un grattage intense des animaux qui laissent des dépôts de laine sur les clôtures. La peau s'épaissit, se plisse et prend l'aspect de peau d'éléphant [3].

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Item Type:	Journal
Divisions:
ePrint ID:	2521
Date Deposited:	2021-01-08
Further Information:	Google Scholar
URI:	https://www.univ-soukahras.dz/en/publication/article/2521

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