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Abstract

La préservation des ressources hydriques est l’un des problèmes majeurs qui pèse sur notre
environnement. Pour mieux préserver cette richesse, de nombreux pays procèdent à l’épuration
des eaux usées (domestiques et /ou industrielles) et à leur réutilisation.
La culture de l’épuration de l’eau en Algérie est très nouvelle, elle est régie par l’office national
d’assainissement (ONA), crée en 2001 sous la tutelle du ministère des ressources en eau qui
dirige plusieurs STEP.
Cette étude comporte un ensemble d’analyses physico-chimiques réalisées au niveau de la
station d’épuration de la ville de Hanancha.
Ce travail a pour but de vérifier l’efficacité du fonctionnement de la station par le procédé des
boues activées. Les résultats présentent des rendements épuratoires satisfaisants de 85% des
matières en suspension (MES). Le taux d\'abattement de la demande chimique en oxygène
(DCO) et la demande biologique en oxygène pendant 5 jours (DBO5) est respectivement de
77% et 87%. Le but de cette station est la protection du barrage d’Ain Dalia, le contrôle des
rejets des eaux et préservation de l’environnement.
Le problème principal de cette STEP c’est que le débit des eaux usées rentrées est 3 fois la
capacité maximale de la station avec une nécessitée d’extension et d’élargissement et aussi la
rénovation.
Mots clés : station d’épuration, eaux usées, Hanancha, boues activées, performances.

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